jeudi 25 février 2010

les Last Poets et l'art du name-dropping



Considérés comme des précurseurs du rap, les Last Poets posent leurs textes vigoureux sur une partie instrumentale souvent réduite à l'essentiel (quelques percussions). Ici ils confrontent l'histoire du jazz - tous les grands noms sont là - et l'histoire de la conscience afro-américaine.

D'ailleurs, j'en profite pour dire qu'une compil et un livre sortis y'a pas longtemps traitent un peu tous ces sujets : Freedom, Rhythm and Sound — Revolutionary Jazz and the Civil Rights Movement 1963-82

Je ne l'ai pas encore écoutée, mais c'est Soul Jazz Records, donc je dis "amen" d'avance.


3 commentaires:

  1. T'aurais pas les paroles par hasard ? C'est fabuleux, by the way

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  2. Tiens et puis je recommande au delà du raisonnable E pluribus unum, Niggers are scared of revolution, et sans doute tout ce que l'on pourrait trouver d'autre chanté par les Last Poets...

    "Niggers would fuck 'Fuck' if it could be fucked
    But when it comes to fucking for revolutionary causes
    Niggers say 'Fuck revolution!'
    Niggers are scared of revolution"

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  3. Non j'ai pas réussi à trouver les paroles de "Bird's world", y'a que les deux morceaux dont tu parles. Faudra te fier à ton oreille :)

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