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Ce blog consiste en un simple exutoire, destiné à partager les choses qui m'intéressent, qui m'excitent, qui me ravissent. S'il peut occasionner des découvertes, c'est fantastique ; sinon, pourquoi pas des redécouvertes ?
Tu verras qu'elles sont toutes à ce niveau, c'est à dire tel qu'on peut pas faire mieux.
RépondreSupprimerMais c'est vrai que ce texte est particulièrement dense. T'as choisi une des plus haineuses, il s'emporte dans un genre de délire, et n'a jamais été aussi violent, du coup il est très drôle.
Ces temps-ci je préfère ses chansons tristes, qui seront trop graves sans doute pour toi : Sale petit bonhomme, Les passantes, L'assassinat, La marine, celui qui a mal tourné, la marche nuptiale... Ou les chansons d'amour : Le mauvais sujet repenti, La première fille, la fessée...
Rah, elles sont toutes géniales...
C'est marrant j'voulais justement te demander celles que tu préfères. Comme ça c'est fait ! Mais c'est vrai que celle-ci a l'air particulière, assez violente, c'est sûrement pour ça qu'elle m'a frappé.
RépondreSupprimerTu connais "Elegie à un rat de cave" ? C'est celle là qui m'a lancé, parce que y'a plein de petits arrangements, cuivres etc, super jazzy. Je m'attendais pas à ça de Brassens.
Brassens on préfère telle ou telle chanson par périodes, et puis de temps en temps on en découvre ou redécouvre une nouvelle.
RépondreSupprimerY a toute une série à écouter sur le rapport à la mort aussi : Oncle Archibald, les Quatzarts, Supplique pour être enterré sur la plage de Sète, le testament...
(et puis ajoute Il n'y a pas d'amour heureux, La princesse et le croque notes, la non-demande en mariage, le cocu, les deux oncles, Mourir pour des idées (évidemment), Mysoginie à part, Le blason, stances à un cambrioleur, l'épave, La messe au pendu, Don Juan, le Vent, j'ai rendez-vous avec vous, les copains d'abord, à l'ombre du coeur de ma mie, Dans l'eau de la claire fontaine, Putain de toi, la mauvaise herbe... J'en passe et notamment des chansons d'amour encore, et quasiment toutes les chansons drôles (on ose moins avouer qu'on les aime celles là))
Le rat de cave je ne l'aime pas vraiment, mais c'est sans doute parce que ça fait tâche au milieu d'une écoute de Brassens que je n'ai pas pu en profiter.
Avec un piano excellent, y a, moins connue, une chanson de sa jeunesse, géniale, reprise par les ogres de Barback : Pour me rendre à mon bureau. C'est le London Calling de Brassens, si j'ose m'exprimer ainsi.