dimanche 4 avril 2010

Lee Hazlewood en Suède



En même temps avec moi c'est pas compliqué, des petites trompettes, tout ce qu'il faut de cordes sur le refrain et j'suis emballé.

5 commentaires:

  1. Ah, les petits cuivres...

    Tiens, pour la peine :

    http://www.youtube.com/watch?v=wkyOjGZV5Yo

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  2. On ne mesure pas l'historicité de cette chanson. Il y a tout dedans ; le son d'abord, puisque tu l'as souligné. Mais cette interaction entre Lee et Nancy, tout se joue là dessus : comme si il se fichait doucement de sa naiveté, ce n'est pas de l'amour, c'est pas juste de l'amitié, alors c'est quoi ? Ca résume pour moi toutes les 60's (même si c'est un peu plus vieux), cette évocation au cheval, moi ca me rend dingue.

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  3. Tu vas dire que je pinaille mais tu me connais, j'peux pas m'empêcher.
    D'abord ici c'est pas Nancy Sinatra (ok ça y ressemble beaucoup !) c'est, selon allmusic, soit Nina Lizell soit Suzi Jane Hokom (inconnues au bataillon).
    Et pour la relation entre Hazlewood et ses chanteuses en général, ben c'est jamais naïf justement ! C'est toujours un truc un peu pervers à la Gainsbourg. Assez marrant d'ailleurs : "no big cowboy can do the little things i do"...

    Et si la thématique chevaline te fais rêver, j'ai ce qu'il faut : http://www.youtube.com/watch?v=LsCWF01U81k (LE film de Lee Hazlewood !)
    Ca commence à 1:40 pour la chanson.

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  4. Les couleurs sont affreuses, ça rend le truc complètement psyché.

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  5. Le verbe pinailler, tu l'emploies parce que tu es un disciple de Verrier, ou ça s'emploie ailleurs que chez les anciens élèves du maître ?

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